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  • Limites parcellaires correspondant aux parcelles colorées sur les plans d'îlots Vasserot (parcelles foncières et non morphologiques). Cet état du parcellaire de 1810-1836 résulte d'une vectorisation manuelle réalisée par A.-L. Bethe entre 2007 et 2010, à partir du géoréférencement des plans d'îlots Vasserot.

  • Disposer du contour des îlots de l'atlas de Vasserot sous une forme aussi compatible que possible en termes de géométrie avec les alignements de façade des îlots actuels. Ainsi recalés ces îlots forment l'enveloppe que doit remplir l'image du scan de l'original de chacun d'entre eux, quitte à faire subir à celle-ci les déformations géométriques nécessaires. Couche créée par ALPAGE. Reprise ici pour adopter une géométrie compatible avec celle des îlots actuels, tout en s'appuyant sur la représentation d'origine du contour des îlots dans les planches originales de l'Atlas de Paris par îlots de Philibert Vasserot.

  • Hydrographie d'après les plans d'îlot Vasserot. Version n°2, faite par Paul Rouet, des couches initiales (Seine et Bièvre), qui avaient été faites par A.-L. Bethe et H. Noizet, et qui sont donc périmées par cette 2e version.

  • Emprise de la voirie d'après l'Atlas par Îlots de Philibert Vasserot (1810-1836). Est ici considéré comme voirie tout ce qui n'est pas îlot et ce qui n'est pas en eau à l'air libre (à l'exception des bassins d'agrément).

  • Tracé des rues de Paris en 1300 d'après le rôle de taille de 1300. Le tracé des rues en 1300 a été établi par adaptation de celui de 1380 à la topographie de la ville

  • Réseau viaire antique reconstitué par T. Vacquer qui avait fait sa propre synthèse des informations archéologiques. Source : version aquarellée par T. Vacquer du plan des égouts de Paris en 1839 de H.-C. Emmery de Sept-Fontaines, BHVP cote G153b. Mathieu Fernandez, Approche topographique historique du sous-sol parisien. La ville épaisse : genèse et évolutions morphologiques, Doctorat du CNAM dirigé par A. Guillerme, soutenu en décembre 2014, vol. 1 de texte p. 129-131 et p. 170.

  • Le tri des limites parcellaires permet de faire ressortir des ensembles cohérents d'orientations qui définissent des trames parcellaires structurant le tissu urbain. L'orientation 67/75° Est, est l'orientation classiquement associée à l’alignement Saint-Martin-Saint-Jacques qui correspondrait en partie au cardo de la fondation antique et s’appuierait sur d’anciennes îles autrefois présentes dans le cours de la Seine. Cette extraction des limites du parcellaire Vasserot orientées entre 67 et 75° par rapport à l'est correspond au tissu urbain du début du 19e s. morphologiquement cohérent et hérité de la principale orientation antique de la ville. L’analyse de l’orientation du parcellaire permet de dégager les grandes tendances d’organisations présentes au début du XIXe siècle. Ces orientations peuvent être comparées aux connaissances historiques pour essayer de préciser les moments d’apparition de ces tendances.

  • Restitution d’un filaire des rues de Paris adapté aux couches des îlots de 1380 et de 1300.

  • Contour des 12 arrondissements de Paris entre 1810 et 1836, période de confection de l'atlas par îlots de Vasserot. Version n°2 de la couche des arrondissements, mieux calée que la première (par exemple par rapport à l'enceinte des Fermiers généraux).

  • Restitution de la voirie de Paris et de ses environs en 1380 approximativement. Disposer sous forme numérique vectorielle d'une couche en coordonnées géographiques de la voierie de Paris et ses environs en 1380, d'après le "Plan restitué de Paris en 1380" réalisé en 1975 par Jacqueline LEURIDAN et Jacques-Albert MALLET et publié par CNRS-Editions en 1991 et 1999 sous le titre "Paris vers la fin du XIVeme siècle" et complété par diverses autres sources concernant le nom des rues, des voies, des places et des chemins notamment lorsque le plan du CNRS est muet.