La ligne de stabilité est l'un des indicateurs de trait de côte utilisés dans le projet STORISK, sur les atolls de Ahe (1961, 1993, 2015) et Takaroa (1969, 2013), et sur l'île-village de Manihi (1981, 1993, 2001, 2015). Cette couche de géométrie polyligne correspond (i) sur les côtes naturelles, à la limite de la végétation ou à celle des débris anciens stabilisés issus de tempêtes, et (ii) sur les côtes anthropisées, à la limite externe des ouvrages de défense et des remblais.

Le pied de plage est l'un des indicateurs de trait de côte utilisés dans le projet INSeaPTION sur l'île de Tahiti. Cette couche de géométrie polyligne correspond au jet de rive sur la plage de Tautira. Ce dernier marque la limite atteinte par l’eau projetée sur la plage par la vague venant de déferler.

Cette couche de géométrie polygone représente la surface stabilisée des îles sur les atolls de Ahe (1961, 1993, 2015) et Takaroa (1969, 2013), et sur l'île-village de Manihi (1981, 1993, 2001, 2015). Elle a été créée à partir de la ligne de stabilité et permet donc d'analyser l'évolution de la surface des îles.

Cette couche de géométrie polygone représente la surface remblayée entre 1960 et 2017 dans le secteur de la ville de Victoria, située dans l'est de l'île de Mahé (Seychelles, Océan Indien). Elle a été obtenue à partir de l'indicateur ligne de stabilité numérisé en 1960, 1975 et 20178.

La ligne de stabilité est l'un des indicateurs de trait de côte utilisés dans le projet STORISK sur les plages des îles de Mahe (1960, 1975, 2017), Praslin (1960, 2019) et La Digue (1960, 2019). Cette couche de géométrie polyligne correspond (i) sur les côtes naturelles, à la limite de la végétation et (ii) sur les côtes anthropisées, à la limite externe des ouvrages de défense et des remblais.

Cette couche de géométrie polyligne (composée de transects qui coupent les traits de côte tous les 10 m), propose des données quantitatives sur les changements que le trait de côte a connu entre deux dates données sur Saint-Joseph (1960-2018), Poivre (1960-2017), Marie-Louise (1960-2018), Farquhar (1960-2016) et Desroches (1960-2020). Pour chaque transect, la distance entre les deux lignes de végétation considérées est mesurée en mètre (champ NSM), et la vitesse des changements en mètre/an (champ EPR).

Cette couche de géométrie polyligne (composée de transects qui coupent les traits de côte tous les 10 m), propose des données quantitatives sur les changements que le trait de côte a connu entre deux dates données sur la plage de Tautira, Tahiti (1955-2017, 1955-1977, 1977-1984, 1984-1990, 1990-2001, 2001-2011, 2011-2017). Pour chaque transect, la distance entre les deux lignes de végétation considérées est mesurée en mètre (champ NSM), et la vitesse des changements en mètre/an (champ EPR). Les calculs ont été réalisés avec l'extension Digitial Shoreline Analysis System (DSAS).

Cette couche de géométrie polygone représente la surface végétalisée de Saint-Joseph, Poivre, Marie-Louise, Farquhar et Desroches (1960,2016, 2017, 2018 et 2020). Elle a été créée à partir de la ligne de végétation et permet donc d'analyser l'évolution de la surface des îles.

Cette couche de géométrie polygone représente la surface végétalisée de Denis, Bird et Coëtivy (1960, 2018). Elle a été créée à partir de la ligne de végétation et permet donc d'analyser l'évolution de la surface des îles.

Dans le cadre du projet EVEX (EVènements EXtrêmes et érosion du trait de côte) une synthèse des évolutions des littoraux adjacents au pertuis de Maumusson a été réalisée, nécessitant la production d'orthomosaïques à partir d'images aériennes anciennes de l'IGN. Création d’orthomosaïques sous Photoscan (Agisoft) à partir d’images aériennes de l’IGN disponibles sur le site Géoportail. L’emprise comprend le sud de l’île d’Oléron et la côte sauvage de la presqu’île d’Arvert. Années concernées : 1945, 1949, 1957, 1958, 1959, 1964, 1970, 1972, 1973, 1974, 1975, 1976, 1977, 1978, 1979, 1982, 1984, 1989, 1991, 1995, 1996, 1999, 2000, 2003. Une partie des orthomosaïques a été géoréférencée sous ArcMap en RGF Lambert 93 (ESPG : 2154) à partir de la BD Ortho (IGN) du secteur datant de 2012. Certaines orthomosaïques ne sont pas parfaitement planes ce qui explique des erreurs quadratiques moyennes (EQM) élevées.