Cette couche de géométrie polyligne (composée de transects qui coupe le trait de côte tous les 10 mètres), propose des données quantitatives sur les changements que le trait de côte a connu entre 1977 et 2019 sur l’île de Moorea. Pour chaque transects, la distance entre les deux lignes considérées est mesurée en mètres (champs NSM), et la vitesse des changements en mètres par an (EPR).

largeur_hoa_2013, transect généré à partir de DSAS, représente la distance entre deux îles coralliennes, en prenant comme indicateur la ligne de stabilité de 2013 des îles coralliennes de l'atoll de Takapoto. Cette donnée a été créée dans le cadre du projet STORISK et sert à analyser l'évolution morphologique des îles dans les atolls des Tuamotu, dans le but de proposer une typologie d'îles coralliennes

ligne_stabilite_1984, de géométrie polyligne, se matérialise par la ligne de végétation ou la face interne des ouvrages de défense, du village de Tuherahera dans l'atoll de Tikehau. Cette donnée a été créée dans le cadre du projet REOMERS et sert à analyser l'évolution de la position du trait de côte dans les atolls de l'ouest des Tuamotu.

Cette couche de géométrie polygone représente la surface des plages des principales zones habitées des atolls de Rangiroa (1966, 1981, 1984, 1998, 2013) et Tikehau (1962, 1981, 1984, 1998, 2014). Ces polygones sont délimités par la ligne de stabilité côté terre et par le pied de plage côté mer.

Trait de côte 2020 de la côte basque avec considération des ouvrages longitudinaux de protection côtiers réalisé à partir de l'orthophotographie de 2020 et des produits lidar (MNT, dérivés) Référence : Méthode de cartographie du trait de côte de l'OCNA décrite dans le rapport BRGM/RP-71582-FR. ©BRGM, Observatoire de la côte de Nouvelle-Aquitaine

La ligne de végétation est l'un des indicateurs de trait de côte utilisés dans le projet STORISK sur Saint-Joseph, Poivre, Marie-Louise, Farquhar et Desroches. Cette couche de géométrie polyligne correspond à la limite externe de la couverture végétale.

Le pied de plage est l'un des indicateurs de trait de côte utilisés dans le projet Réomers, sur les atolls de Mataiva (1976, 1984, 1994, 2013) et Takapoto (1969, 1981, 1984, 1995, 2013), et sur les principales zones habitées des atolls de Rangiroa (1966, 1981, 1984, 1998, 2013) et Tikehau (1962, 1981, 1984, 1998, 2014). Cette couche de géométrie polyligne correspond à la limite entre le platier récifal et la plage.

La ligne de stabilité est l'un des indicateurs de trait de côte utilisés dans le projet STORISK sur les plages des îles de Mahe (1960, 1975, 2017), Praslin (1960, 2019) et La Digue (1960, 2019). Cette couche de géométrie polyligne correspond (i) sur les côtes naturelles, à la limite de la végétation et (ii) sur les côtes anthropisées, à la limite externe des ouvrages de défense et des remblais.

Cette couche de géométrie polyligne recense les ouvrages de protection (cordon d'enrochement, épi, mur, etc.) sur les principales zones habitées des atolls de Mataiva, Rangiroa, Tikehau et Takapoto. Cette donnée a été créée à la fois par photo-interprétation (à partir des images satellites Pléiades de 2013 et 2014) et par un recensement sur le terrain (position et caractérisation des ouvrages : type, hauteur, état, etc.) lors de missions réalisées entre 2013 et 2016, dans le but d'interroger le rôle de ces aménagements dans l'évolution de la position du trait de côte.

ligne_stabilite_2013, de géométrie polyligne, se matérialise par la ligne de végétation ou la face interne des ouvrages de défense, du village d'Avatoru à l'ouest à celui de Tiputa à l'est, dans l'atoll de Rangiroa. Cette donnée a été créée dans le cadre du projet REOMERS et sert à analyser l'évolution de la position du trait de côte dans les atolls de l'ouest des Tuamotu.