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  • Restitution des Objets Ponctuels (Croix, Gibet, Fontaine, Orme, Point d'attache de toponymes divers) à Paris et dans ses environs en 1380. Disposer sous forme numérique vectorielle d'une couche en coordonnées géographiques des Objets Ponctuels (Croix, Gibet, Fontaine, Orme, Point d'attache de toponymes divers) de Paris et ses environs en 1380, d'après le "Plan restitué de Paris en 1380" réalisé en 1975 par Jacqueline LEURIDAN et Jacques-Albert MALLET et publié par CNRS-Editions en 1991 et 1999 sous le titre "Paris vers la fin du XIVeme siècle". Cette couche inclut le point d'attache de toponymes non directement associés à d'autres objets.

  • Limites parcellaires correspondant aux parcelles colorées sur les plans d'îlots Vasserot (parcelles foncières et non morphologiques). Cet état du parcellaire de 1810-1836 résulte d'une vectorisation manuelle réalisée par A.-L. Bethe entre 2007 et 2010, à partir du géoréférencement des plans d'îlots Vasserot.

  • Puits de Paris sur les plans d'îlots Vasserot (1810-1836).

  • Contour des 12 arrondissements de Paris entre 1810 et 1836, période de confection de l'atlas par îlots de Vasserot. Version n°2 de la couche des arrondissements, mieux calée que la première (par exemple par rapport à l'enceinte des Fermiers généraux).

  • Cette couche restitue l’emprise au sol des îlots de Paris vers 1553, à partir du plan de Bâle, et caractérise le niveau de densité urbaine de chaque îlot d’après la représentation sur le plan (faible, moyen, élevé).

  • Le tri des limites parcellaires permet de faire ressortir des ensembles cohérents d'orientations qui définissent des trames parcellaires structurant le tissu urbain. L'orientation 67/75° Est, est l'orientation classiquement associée à l’alignement Saint-Martin-Saint-Jacques qui correspondrait en partie au cardo de la fondation antique et s’appuierait sur d’anciennes îles autrefois présentes dans le cours de la Seine. Cette extraction des limites du parcellaire Vasserot orientées entre 67 et 75° par rapport à l'est correspond au tissu urbain du début du 19e s. morphologiquement cohérent et hérité de la principale orientation antique de la ville. L’analyse de l’orientation du parcellaire permet de dégager les grandes tendances d’organisations présentes au début du XIXe siècle. Ces orientations peuvent être comparées aux connaissances historiques pour essayer de préciser les moments d’apparition de ces tendances.

  • Restitution des Antiquités Romaines à Paris et de ses environs en 1380. Disposer sous forme numérique vectorielle d'une couche en coordonnées géographiques des Antiquités Romaines de Paris et ses environs en 1380, d'après le "Plan restitué de Paris en 1380" réalisé en 1975 par Jacqueline LEURIDAN et Jacques-Albert MALLET et publié par CNRS-Editions en 1991 et 1999 sous le titre "Paris vers la fin du XIVeme siècle".

  • Réseau viaire antique reconstitué par T. Vacquer qui avait fait sa propre synthèse des informations archéologiques. Source : version aquarellée par T. Vacquer du plan des égouts de Paris en 1839 de H.-C. Emmery de Sept-Fontaines, BHVP cote G153b. Mathieu Fernandez, Approche topographique historique du sous-sol parisien. La ville épaisse : genèse et évolutions morphologiques, Doctorat du CNAM dirigé par A. Guillerme, soutenu en décembre 2014, vol. 1 de texte p. 129-131 et p. 170.

  • Limites d’îlots des plans Vasserot (1810-1836). Cette couche des îlots du début du 19e s. a été vectorisée manuellement par A.-L. Bethe à partir du géoréférencement des plans Vasserot entre 2007 et 2010. Les limites d'îlots ne sont pas optimales car le géoréférencement choisi ne visait pas à avoir des limites d'îlots parfaites, respectant les largeurs des rues, mais qui auraient induit des grosses déformations à l'intérieur de l'îlot, dans le parcellaire. Il a été décidé de répartir la déformation sur tout l'îlot pour exploiter le parcellaire. Pour une utilisation couplée des îlots et du parcellaire, il faut donc utiliser cette version 1 des îlots. Pour une utilisation des seuls îlots, sans le parcellaire (par exemple pour un fond de plan), il faut utiliser la version optimale des contours d'îlots (qui respectent les largeurs de voies), soit la version n°2 de cette même donnée.

  • Hydrographie d'après les plans d'îlot Vasserot. Version n°2, faite par Paul Rouet, des couches initiales (Seine et Bièvre), qui avaient été faites par A.-L. Bethe et H. Noizet, et qui sont donc périmées par cette 2e version.