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Cette couche de géométrie polygone représente la surface stabilisée des îles sur les atolls de Ahe (1961, 1993, 2015) et Takaroa (1969, 2013), et sur l'île-village de Manihi (1981, 1993, 2001, 2015). Elle a été créée à partir de la ligne de stabilité et permet donc d'analyser l'évolution de la surface des îles.
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Trait de côte 2014 de la côte basque avec ouvrages longitudinaux de protection côtiers réalisé à partir de l'orthophotographie de 2014 et des produits lidar (MNT, dérivés) Référence : Méthode de cartographie du trait de côte de l'OCNA décrite dans le rapport BRGM/RP-71582-FR. ©BRGM, Observatoire de la côte de Nouvelle-Aquitaine
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Cette couche de géométrie polyligne (composée de transects qui coupe le trait de côte tous les 10 mètres), propose des données quantitatives sur les changements que le trait de côte a connu entre 1977 et 2019 sur l’île de Moorea. Pour chaque transects, la distance entre les deux lignes considérées est mesurée en mètres (champs NSM), et la vitesse des changements en mètres par an (EPR).
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La largeur des plages correspond à la distance séparant le pied de plage de la ligne de stabilité. Cette couche de géométrie polyligne (série de transects) a été mesurée uniquement sur la face océanique de l'atoll de Takapoto et a permis de caractériser plus finement la contraction des plages entre 1969 et 2013.
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Cette couche de géométrie polyligne recense les ouvrages de protection (cordon d'enrochement, épi, mur, etc.) sur les principales zones habitées des atolls de Mataiva, Rangiroa, Tikehau et Takapoto. Cette donnée a été créée à la fois par photo-interprétation (à partir des images satellites Pléiades de 2013 et 2014) et par un recensement sur le terrain (position et caractérisation des ouvrages : type, hauteur, état, etc.) lors de missions réalisées entre 2013 et 2016, dans le but d'interroger le rôle de ces aménagements dans l'évolution de la position du trait de côte.
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Cette couche de géométrie polyligne (composée de transects qui coupent les traits de côte tous les 10 m), propose des données quantitatives sur les changements que le trait de côte a connu entre deux dates données Denis (1960-2018), Bird (1960-2018) et Coëtivy (1960-2018). Pour chaque transect, la distance entre les deux lignes de végétation considérées est mesurée en mètre (champ NSM), et la vitesse des changements en mètre/an (champ EPR).
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La ligne de stabilité est l'un des indicateurs de trait de côte utilisés dans le projet INSeaPTION sur l'atoll d'Aratika (1961, 2010). Cette couche de géométrie polyligne correspond (i) sur les côtes naturelles, à la limite de la végétation ou à celle des débris anciens stabilisés issus de tempêtes, et (ii) sur les côtes anthropisées, à la limite externe des ouvrages de défense et des remblais.
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La ligne de stabilité est l'un des indicateurs de trait de côte utilisés dans le projet Réomers, sur les atolls de Mataiva (1976, 1984, 1994, 2013) et Takapoto (1969, 1981, 1995, 2013), et sur les principales zones habitées des atolls de Rangiroa (1966, 1981, 1984, 1998, 2013) et Tikehau (1962, 1981, 1984, 1998, 2014). Cette couche de géométrie polyligne correspond (i) sur les côtes naturelles, à la limite de la végétation ou à celle des débris anciens stabilisés issus de tempêtes, et (ii) sur les côtes anthropisées, à la limite externe des ouvrages de défense et des remblais.
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Le pied de plage est l'un des indicateurs de trait de côte utilisés dans le projet INSeaPTION, sur l'atoll d'Aratika (1961, 2010). Cette couche de géométrie polyligne correspond à la limite entre le platier récifal et la plage.
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Trait de côte 2020 de la côte basque sans considération des ouvrages longitudinaux de protection côtiers réalisé à partir de l'orthophotographie de 2020 et des produits lidar (MNT, dérivés) Référence : Méthode de cartographie du trait de côte de l'OCNA décrite dans le rapport BRGM/RP-71582-FR. ©BRGM, Observatoire de la côte de Nouvelle-Aquitaine