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  • Cette couche apparaît sur le plan principal du Plan de Référence du PNROPF afin de localiser les espaces non bâtis où le passage de la faune est restreint mais encore possible. Ces espaces sont, selon leur localisation, soit les "maillons faibles" des biocorridors du Parc, soit les derniers espaces permettant le passage de la faune d'un coeur de nature à un autre , et doivent donc bénéficier d'un travail au moins de maintien de la fonctionnalité, ou mieux d'amélioration de la fonctionnalité du passage.

  • correspond à l'aplat "zone d'enjeu pour l'exploitation des ressources minérales - carrières à ciel ouvert" du plan principal du Plan de Référence ; les secteurs identifiés correspondent en fait aux secteurs identifiés par l'Etat dans le cadre du code minier, identifié grâce à la liste des parcelles des arrêtés préfectoraux. Dans la Charte ces secteurs sont les seuls secteurs où de nouvelles exploitation de ressources minérales sont possibles, avec les carrières souterraines de gypse.

  • Localisation des projets d'aménagement faisant l'objet d'une DUP sur le territoire de révision du Parc pour intégration sur le Plan de Référence. La couche a été réalisée sur la base des DUP elle-même, sur un scan25.

  • délimitation des sites d'intérêts écologiques sur le Plan de référence du Parc, correspondant aux 50 sites identifiés dans la Charte (rapport 3 notamment) comme étant les sites où se concentrent les enjeux écologiques les plus forts du territoire; leur délimitation s'est fait sur la connaissance du terrain de l'équipe du Parc et sur l'exploitation des inventaires faune-flore

  • Limites du Parc, telle que définie dans l'arrêté ministérielle de classement. Cette limite correspond aux communes du périmètre de révision qui ont approuvé la Charte par un vote en conseil municipal, certaines étant entièrement incluses (cas de la plupart), d'autre n'étant que partiellement intégré au Parc. dans le cas des communes partielles, la délimitation s'appuie sur des éléments géographiques (route, courbe de niveau, boisement, etc...) et correspond à ce qui a été négociée avec la commune. La délimitation des communes utilisée est celle de la BDtopo de 2012.

  • correspond à l'aplat "zone d'enjeu pour l'exploitation des ressources minérales - carrières souterraines" du plan principal du Plan de Référence ; en effet sur le territoire du Parc les carrières souterraines correspondent uniquement aux carrières de gypses situées dans le val d'Oise. La couche est issue d'une données fournie par l'IAU à cet effet.

  • Localisation des tronçons d'infrastructures linéaires (voiries, voies ferrées, etc...) qui limite de manière importante la capacité de la faune ou de la flore de se déplacer d'un cœur de nature à un autre, en fractionnant l'espace de transit. La Charte préconise de rendre ces tronçons plus perméable par des aménagements adaptés (ecopont, etc...), d'où leur localisation sur le plan de Référence. L'identification des tronçons fractionnants s'est fait sur dire d'expert ou par connaissance du terrain. Les infrastructures concernées ne sont pas nécessairement situées dans les biocorridors identifiés au plan de référence, elles peuvent se situer directement dans les massifs forestiers.

  • Localisation ponctuelle des sites présentant un intérêt géologique, pour des raisons scientifiques (profil type), pédagogique (lecture facile des éléments) ou patrimoniales (rareté). Le choix des sites s'est fait en croisant l'inventaire national en cours de réalisation à l'époque (INPG) et la connaissance terrain de l'équipe afin de proposer la liste la plus complète sur le territoire. Les sites d'intérêt géologique sont présents sur le Plan de Référence du Parc car font l'objet de préconisation dans la Charte (préservation, mise en valeur...)

  • localise en tout point du territoire du Parc la vocation identifiée au Plan de Référence : espace boisé, espace agricole, enveloppe urbaine, etc...

  • Cette couche apparaît sur le plan principal du Plan de Référence du PNROPF afin de localiser les espaces non bâtis où le passage de la faune est encore possible sans contrainte particulière, et sont les espaces de passages privilégiés de la faune entre les cœurs de nature du territoire (ou avec les territoires limitrophes). Ces espaces sont donc importants pour maintenir les échanges entre cœur de nature, et doivent donc bénéficier d'un travail au moins de maintien de la fonctionnalité si nécessaire.