Cette cartographie découle de la cartographie réalisée dans le cadre de l'étude de cartographie du littoral au recul du trait de côte dans un contexte de changement climatique à l'échelle du bassin Adour-Garonne (http://infoterre.brgm.fr/rapports/RP-67395-FR.pdf, opération réalisée avec le concours financier de l'Agence de l'Eau Adour-Garonne). Elle a été étendue au littoral de Nouvelle-Aquitaine dans le cadre de l'Observatoire de la Côte Aquitaine.

Délimitation du trait de côte de la Côte Basque de 1829 à partir des cartes anciennes du SHOM.

Le trait de côte sur la côte sableuse correspond au pied de dune. Ce trait de côte a été déterminé par photo-interprétation de l'orthophotographie 2016 (©IGN, OCA 2016), appuyé par les données LiDAR acquises de façon synchrone à l'orthophotographie. Le pied de dune correspond à la rupture topographique entre le front dunaire océanique et la plage.

Trait de côte 2019 de la Pointe du Verdon au Cap Saint Martin (côte sableuse ex-Aquitaine). Le trait de côte sur la côte sableuse correspond au pied de dune. Ce trait de côte a été déterminé par photo-interprétation de l'orthophotographie 2019 (©IGN, OCA 2019), appuyé par les données LiDAR acquises de façon synchrone à l'orthophotographie. Le pied de dune correspond à la rupture topographique entre le front dunaire océanique et la plage. Les banquettes ne sont pas prises en compte.

Trait de côte 2023 de la côte sableuse de Nouvelle-Aquitaine, incluant les iles d'Oléron et de Ré, la Tremblade et la côte sauvage de Charente-Maritime, et pour l'ex Aquitaine de la Pointe du Verdon au Cap Saint Martin. Le trait de côte sur la côte sableuse correspond au pied de dune. Ce trait de côte a été déterminé par photo-interprétation de l'orthophotographie 2023 (©Sintegra, OCNA 2023), appuyé par les données LiDAR acquises de façon synchrone à l'orthophotographie. Le pied de dune correspond à la rupture topographique entre le front dunaire océanique et la plage. Les banquettes ne sont pas prises en compte.

Zone exposée à l'aléa recul du trait de côte à l'horizon 2025, juxtaposée au trait de côte du littoral sableux aquitain en 2014. Ce dernier est issu de la photointerprétation de l'orthophotographie acquise lors du levé LiDAR 2014 de l'IGN. La position de trait de côte ne tient pas compte des ouvrages de protection. Les zones exposées à l'aléa recul du trait de côte correspondent d'une part à la projection du taux d'érosion sur 11 années, et d'autre part, au recul lié à l'impact d'un évènement majeur.

Zones exposées à l'aléa "recul du trait de côte" à l'horizon 2050, juxtaposées au trait de côte du littoral de la côte rocheuse aquitaine en 2014. Ce dernier est issu de la photointerprétation de l'orthophotographie acquise lors du levé LiDAR 2014 de l'IGN. La position de trait de côte ne tient pas compte des ouvrages de protection. Les zones exposées à l'aléa "recul du trait de côte" correspondent d'une part à la projection du taux d'évolution sur 36 années, et d'autre part, au recul lié à l'impact d'un évènement majeur.

Zone exposée à l'aléa recul du trait de côte à l'horizon 2050, juxtaposée au trait de côte du littoral sableux aquitain en 2014. Ce dernier est issu de la photointerprétation de l'orthophotographie acquise lors du levé LiDAR 2014 de l'IGN. La position de trait de côte ne tient pas compte des ouvrages de protection. Les zones exposées à l'aléa recul du trait de côte correspondent d'une part à la projection du taux d'érosion sur 36 années, et d'autre part, au recul lié à l'impact d'un évènement majeur.

Zones exposées à l'aléa "recul du trait de côte" à l'horizon 2025, juxtaposées au trait de côte du littoral de la côte basque en 2014. Ce dernier est issu de la photointerprétation de l'orthophotographie acquise lors du levé LiDAR 2014 de l'IGN. La position de trait de côte ne tient pas compte des ouvrages de protection. Les zones exposées à l'aléa "recul du trait de côte" correspondent d'une part à la projection du taux d'évolution sur 11 années, et d'autre part, au recul lié à l'impact d'un évènement majeur.

Données produites dans le cadre du projet Carpediem piloté par l'Agence Française pour la Biodiversité avec l'appui scientifique et technique de l'UMR Amure (convention AFB-UBO réference AAMP/16 007). Données sources : CEREMA. Le projet Carpediem a pour objectif la production de cartographies de synthèse des pressions anthropiques et de leurs effets probables ou potentiels sur les écosystèmes marins. Thématique du jeu de données : artificialisation du littoral. Données maillées représentant l'intensité d'artificialisation du littoral produite à partir de la couche SIG N_artificialisation_ouvrage_metropole_epsg2154_L provenant du CEREMA et disponible sur le portail Geolittoral. Davantage d'informations sur les différents traitements mis en œuvre et la description de chaque champ de la table sont disponibles dans le document pdf Méthodo_intégration_artificialisation_carpediem joint aux données.