Cerema Risques, Eaux et Mer
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Le trait de côte est considéré comme artificialisé lorsqu'il supporte des ouvrages et des aménagements littoraux ou que son évolution est potentiellement influencée par ces constructions. La cartographie de l'artificialisation du trait de côte a été réalisée principalement à partir de la "cartographie nationale des ouvrages et aménagements littoraux" produite dans le cadre de la Stratégie nationale de gestion intégrée du trait de côte. Cette cartographie couvre l'ensemble du littoral de la métropole et des départements et régions d'outre-mer (Guadeloupe, Martinique, Guyane, La Réunion, Mayotte).
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Cette couche cartographique identifie les communes du littorales ayant progressé dans l'échelle d'intensité de l'indicateur IB.
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Dates des photographies aériennes utilisées pour produire l’indicateur national de l’érosion côtière, dans le cadre de la Stratégie nationale de gestion intégrée du trait de côte. Ces données sont importantes pour interpréter les évolutions du trait de côte.
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Cette couche représente l'évolution du trait de côte issue de l'indicateur national de l'érosion côtière sous la forme d'histogrammes le long du linéaire côtier. Les données concernent la métropole et les cinq (5) départements d'outre-mer (Guadeloupe, Martinique, Guyane, Mayotte et Réunion).
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L'expression "Zones Basses" correspond aux zones topographiques situées sous le niveau centennal de la mer (niveau de référence retenu pour la France métropolitaine). Sa représentation cartographique est discrétisé en trois catégories de valeurs: * Zone sous le niveau marin centennal -1m : Fort * Zone sous le niveau marin centennal : Moyen * Zone sous le niveau marin centennal +1m : Faible
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Les Arrêtés de catastrophes naturelles sont un indicateur disponible pour connaître la vulnérabilité d'une commune face à un risque. Dans notre cas, le risque analysé correspond à un risque lié à la mer comme les submersions marines, le recul du trait de côte.... La couche cartographique répartie par commune le nombre d'Arrêtés de catastrophes naturelles liées à la mer qui ont pu être recensés. Sa représentation graphique est discrétisé en 7 classes de valeurs allant de 0 à 5.5.
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La couche cartographique répartie par niveaux les hauteurs d'eau dans les zones basses pour un niveau marin centennal de référence (ZBNM100). La représentation cartographique de ces hauteurs d'eau est réalisée à l'échelle nationale en distinguant 6 classes de niveaux de l'eau : * niveau de l'eau compris entre 5.5m et 13.5m * niveau de l'eau compris entre 4.5m et 5.5m * niveau de l'eau compris entre 3.5m et 4.5m * niveau de l'eau compris entre 2.5m et 3.5m * niveau de l'eau compris entre 1.5m et 2.5m * niveau de l'eau compris entre 0m et 1.5m . Les hauteurs d'eau sont données par classe de 1m sauf pour la première et dernière classe.
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Cette couche représente le découpage du littoral métropolitain en cellules hydrosédimentaires définies dans le cadre du projet "Dynamiques et évolution du littoral: synthèse des connaissances des côtes françaises". Une cellule hydrosédimentaire présente un compartiment de littoral qui peut être décrit et analysé de manière autonome du point de vue des transports sédimentaires transversaux et longitudinaux. Cette connaissance est aujourd’hui incomplète sur l’ensemble des territoires.
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Marqueurs de la position du trait de côte digitalisés à partir de photographies aériennes anciennes (1920-1957) et utilisés pour produire l’indicateur national de l’érosion côtière, dans le cadre de la Stratégie nationale de gestion intégrée du trait de côte. Les données concernent la métropole et les cinq (5) départements d'outre-mer (Guadeloupe, Martinique, Guyane, Mayotte et Réunion).
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Nombre d’années entre les 2 orthophotographies aériennes utilisées pour produire l’indicateur national de l’érosion côtière, dans le cadre de la Stratégie nationale de gestion intégrée du trait de côte. Ces données sont importantes pour interpréter les évolutions du trait de côte.