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  • Stocks (abundance and biomass) of the slipper limpet Crepidula fornicata Linnaeus, 1758 in the Pertuis Charentais shallows were estimated in 2011 and mapped (Sauriau et al., 2011). The influence of the estimate includes the Pertuis Breton, the eastern part Pertuis Antioch Fouras peninsula and the Bay of Marennes-Oléron where the latter earlier estimates are available. Contours and surface areas of the crepidula were previously determined by acoustic imaging performed aboard the VO/Haliotis in 2008 and 2009, interpreted and validated by spot sampling in 2009 (Curti, 2009). Sampling stocks of 2011 is based on a stratified random sample of 40 banks with a proportional distribution of sampling of 200 stations between banks. The listing for each crepidula bank stocks (abundance in millions, biomass in tonnes) both living and dead, these shells may provide support to potential new colonization.

  • The geographical distribution of the main Sabellaria Hermelles alveolata beds (Linné, 1767) from the coast of the Pertuis Charentais was compiled from 2010 to 2012. The inventory focuses on the tidal beds (+ 6-0 m marine coast) and compiles two cartographic sources from the project CARTHAM Natura 2000 at sea of the Agency of Marine Protected Areas: 1) Hermelles inventories made on 2011 by the Association IODDE on the west of Oleron Island and 2) mapping inventory of intertidal marine habitats by LIENSs (in cooperation with CREOCEAN, Ré Nature Environnement, GEO-Transfert et la LPO Moëze-Oléron). Methodologies used by IODDE on Oléron combine ground truths with reports with Geographic Information System (GIS). The methodologies used by LIENSs to estimate the extension of the intertidal habitats throughout the Pertuis Charentais combine aerial image analysis, remote sensing, field validations by differential GPS and thematic analysis using GIS (Cajeri et al., 2012). It is during these ground truths that the presence of tackles or small Hermelles reefs was noted. The IODDE results have allowed an almost exhaustive inventory of Hermelles reefs west of Oleron. Those of LIENSs have clarified the distribution of Hermelles on most of the Pertuis Charentais foreshores.

  • Bathymetry of the Congo fan (synthesis, 2013), with a spatial resolution of 100 meters (WGS84 / Mercator 5°30'S). This dataset is a compilation of bathymetric data from several cruises. Cruise descriptions : - VANGRIESHEIM Annick (2005) BIOZRECUP2 cruise, RV Beautemps-Beaupré, https://doi.org/10.17600/5090030 - COCHONAT Pierre, ROBIN Agnès (1992) GUINESS I cruise, RV L'Atalante, https://doi.org/10.17600/92004211 - OPTIC CONGO 2 - MARSSET Tania, DROZ Laurence (2010) REPREZAI_LEG1 cruise, RV Pourquoi pas ?, https://doi.org/10.17600/10030170 - OLU Karine (2011) WACS cruise, RV Pourquoi pas ?, https://doi.org/10.17600/11030010 - SAVOYE Bruno (1998) ZAIANGO1 cruise, RV L'Atalante, https://doi.org/10.17600/98010100 - COCHONAT Pierre (1998) ZAIANGO2 cruise, RV L'Atalante, https://doi.org/10.17600/98010110 - BOURILLET Jean-François (2000) ZAIANGOCAR cruise, RV Le Suroît, https://doi.org/10.17600/20050 - GELI Louis (2000) ZAIANGO-OBS-BIOL cruise, RV Le Suroît, https://doi.org/10.17600/20040

  • La modélisation des courants consiste à recalculer, pour chaque pas de temps, les composantes vitesses et directions du courant en chacune des maille du modèle, pour chaque niveau de profondeur (30) sur la totalité de l'emprise (~7 millions de cellules recalculées à chaque pas de temps). Dans le cadre du projet Hydrorun, une année complète de simulation réaliste (> 50 000 pas de temps) a été générée. Parmi les paramètres de synthèse produits, ici sont présentées : - La vitesse maximale du courant barotrope (sur l'année 2006) en mètres par seconde : maximum annuel et maximum par trimestre - La vitesse maximale du courant de surface (sur l'année 2006) en mètres par seconde : maximum annuel et maximum par trimestre Format de diffusion : GeoTIFF (*.TIFF + *.TFW) et Netcdf (*.nc)

  • La distribution géographique des principaux gisements du pétoncle Chlamys varia L. aujourd’hui nommé Mimachlamys varia (Linné, 1758) a été dressée en 1951 par Letaconnoux & Audouin (1956) pour la région de La Rochelle englobant les Pertuis Breton et d’Antioche. L’inventaire porte sur les principaux gisements naturels de pétoncle du Pertuis Breton, du Pertuis d’Antioche jusqu’au Pertuis de Maumusson puis détaille les structures d’âge de deux populations issues du banc du Bûcheron et du banc de la Flotte dans le Pertuis Breton. L’analyse des conditions thermiques et salines en 1951-1952 permet aux auteurs de préciser le régime hydrologique propre aux bancs de pétoncle : marin (30 à 35 de salinité) et non perturbé par l’influence des eaux peu salées issues des panache fluviaux de la Sèvre et de la Charente, zone peu profonde au-dessus de l’isobathe des -15 m jusqu’à l’infralittoral exondable. Sont localisés treize bancs de pétoncle dont cinq dans le Pertuis Breton (en particulier les bancs du Bûcheron et de La Flotte qui sont les plus étendus), sept dans le Pertuis d’Antioche (situé le long des côtes de La Rochelle et d’Angoulin et à proximité de l’île d’Aix) et un au cœur du bassin de Marennes-Oléron (à proximité du banc de Lamouroux). La toponymie des gisements de pétoncle est issue des cartes IGN actuelles sauf pour les bancs du Bûcheron et de la Flotte clairement identifiés par Letaconnoux & Audouin (1956).

  • Cette donnée permet de visualiser les taux de recouvrement des quatre principaux constituants de la plateforme récifale : le Sable, le Corail, les Algues et les Herbiers. Elle permet également de visualiser une synthèse des quatre séries de cartes précédentes. L'image est constituée de 4 bandes (une pour chaque constituant), dont 3 sont représentés (sable / algues / corail) sur une image composite RVB avec un étirement sur la gamme de valeurs comprise entre 0 et 100 %. A l'échelle du pixel, la somme des bandes fait 100 %. Pour le taux de recouvrement des herbiers, seules les zones disposant d'herbiers significatifs sont présentées dans les cartes suivantes (entre Saint-Gilles et Trou d’eau).

  • Dans le cadre du projet Hydrorun, pour le développement de la plateforme de modélisation, une base d'archives de 10 ans de données d'état de mer a été réalisée. Ce modèle dont l'emprise initiale est régionale (englobe l'Ile Maurice) exploite le code spectral d'états de mer Wavewatch 3 construit sur un maillage triangulaire, forcé par les champs de vent WRF et le modèle global G05 (projet Iowaga). Le modèle est ensuite calibré à partir des mesures de bouées du réseau Candhis. Des synthèses de houles annuelles et trimestrielles ont été produites (sur la base de données de 10ans). Parmi les paramètres de synthèse produits, ici sont présentées les directions et périodes (en seconde) moyennes annuelles et trimestrielle. Format de diffusion : SHAPE (*.shp + *.lyr), GEOTIFF (*.tiff + *.lyr) et/ou Netcdf (*.nc)

  • Carte administrative des communes et intercommunalités constituant le Pays Compiégnois.

  • Cette données représente la dénomination des sols du Languedoc Roussillon. La spatialisation considère les unités cartographiques de la BD-sol (pédopaysages). Le fichier se nomme BdSol_U_Carto.shp Définition des champs : - An_poly : index des polygones - Aire_m2 : aire du polygone en mètre carré - Perim_m2 : périmètre du polygone en mètre carré - No_UC : identifiant du polygone - NOM_UC : Nom de l’Unité Cartographique de Sol.

  • Les sons impulsifs ou transitoires de courte durée et de forte intensité constituent l’un des critères de définition du bon état écologique pour le descripteur 11 relatif à la pression du bruit généré par les activités anthropiques dans le cadre de la DCSMM (D11C1). Le bon état écologique pour l'énergie sonore est atteint lorsque les risques de dérangement acoustique, de surmortalité par exposition sonore et de réduction des distances de communication des mysticètes sont cumulativement faibles ou modérés. Pour cela, la répartition spatiale, l'étendue temporelle et les niveaux acoustiques des sources de sons impulsifs anthropiques ne doivent pas dépasser les niveaux nuisibles aux populations d'animaux marins. Ces critères sont évalués à l’échelle de la sous-région marine pour les régions « Manche et mer du Nord », « Mers celtiques » et « Méditerranée Occidentale »; et à l’échelle des subdivisions « Nord » et « Sud » dans la sous-région «Golfe de Gascogne ». Un des indicateurs retenus pour l'évaluation du critère D11C1 est la distribution spatiale des émissions impulsives (D11C1.2). Les pressions considérées pour l'évaluation du critère sont : • les émissions acoustiques des canons à air ; • les émissions acoustiques par des sources impulsives autres que les canons à air ; • les émissions de sources non impulsives (transitoires) ; • les explosions sous-marines ; • les émissions dues au battage de pieux. Les données utilisées pour le calcul de cet indicateur sont des données déclaratives d’émissions tracées par les opérateurs des activités génératrices de bruits impulsifs. Le BEE est atteint pour l’ensemble des sous-régions marines métropolitaines. Les données sont présentées sous forme de fichiers géoréférencés de type shapefile.