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  • Le référentiel des PSFM du Système d’Informations Halieutiques correspond à la combinaison de Paramètres, Supports, Fractions, Méthodes et Unités. Il permet la saisie, la bancarisation et la restitution de variables. Il est associé à de nombreux autres référentiels : espèces, engins, …

  • Pour certaines espèces commerciales, des coefficients appelés équivalent poids vifs permettent de calculer le poids vif du poisson à partir du poids enregistré au débarquement, ou à partir du poids net des divers produits transformés préparés à bord ou dans des usines installées sur le littoral.

  • Le référentiel des espèces exploitées d’intérêt commercial du Système d’Informations Halieutiques reprend le référentiel ASFIS de la FAO enrichi d’espèces ayant un fort intérêt commercial en France (métropole et outre-mer).

  • Évaluation directe du stock de coquilles saint jacques (Pecten maximus) de la baie de Seine. Le projet de rattachement est SIH.

  • La base de données consolidée présente la répartition spatiale de l’effort d’échantillonnage des campagnes océanographiques françaises et monégasques. Les mesures sont réparties entre l’embouchure du Rhône, le Golfe du Lion, les mers Provence et Ligure. La base de données ainsi constituée contient 55 campagnes ou séries temporelles, réparties sur 5 décades de 1962 à 2010. 28 sont des campagnes océanographiques à stratégie spatiale (certaines ayant donné lieu à des revisites), 14 à stratégie temporelle, 2 à stratégies spatio-temporelle et 1 campagne ponctuelle. Au total, elle compte 24 886 entrées comprenant : 19 027 données de nitrate – 13 826 données de nitrite – 11 452 données d’ammonium – 20 936 données de phosphates – 14 605 données de silicates. La majorité (92%) des données de température et salinité associées est disponible.

  • L’état chimique d'une masse d'eau littorale (eau côtière ou eau de transition) est déterminé par le plus déclassant des états définis pour les métaux lourds, les pesticides, les polluants industriels et les autres polluants pris en compte par la DCE. L'évaluation est faite 1 fois par plan de gestion (une fois tous les six ans). L'évaluation la plus récente de l’état de l'état chimique est présentée dans l’atlas DCE Loire-Bretagne. Les états antérieurs sont accessibles dans des archives annuelles.

  • L’analyse porte sur le suivi de l'état écologique des masses d'eaux côtières et de transition de la Manche ouest et du golfe de Gascogne . L'état écologique d'une masse d'eau littorale au sens de la directive cadre européenne sur l'eau (DCE) est déterminé par l'état biologique, l'état physico-chimique et l'état hydromorphologique de la masse d'eau. L'état est déterminé selon les règles décrites dans l'arrêté du 25 janvier 2010.

  • L’analyse porte sur l'évaluation de l'état global des masses d'eaux côtières et de transition de la Manche ouest et du golfe de Gascogne. Il résulte de la combinaison de l'état écologique et de l'état chimique de chaque masse d'eau selon les règles de la directive cadre européenne sur l'eau (DCE). L’évaluation la plus récente de l’état est présentée dans l’atlas DCE Loire-Bretagne. Les états antérieurs sont accessibles dans des archives annuelles.

  • Suivi de descripteurs pour la caractérisation des assemblages de communautés du coralligène

  • Jusqu’en 1997, parmi les réseaux nationaux de suivi du milieu littoral existants, aucun ne prenait en compte la problématique portuaire. Or, les activités pratiquées dans les ports maritimes influent sur la qualité du milieu aquatique malgré les mesures de prévention mises en place sans toutefois que leur impact soit réellement bien connu. C’est pourquoi, par circulaire du 7 mars 1997, le ministère du Développement durable a mis en place le Réseau national de surveillance de la qualité des eaux et des sédiments des ports maritimes, dénommé REPOM. Ce dernier a été constitué à partir des réseaux départementaux de suivi de la qualité des ports que géraient les Cellules Qualité des Eaux Littorales (CQEL).