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  • Ces images des fonds marins sont issues de la correction des effets de surface de l'eau sur les données hyperspectrales acquises en 2009 et en 2010 pour le projet Litto3D Océan Indien (IGN / SHOM) et sur financement de l'Agence des Aires Marines Protégées (AAMP). Les méthodes de calcul se basent sur les développements initiés dans le cadre de la convention de coopération quadripartite portant sur la "Cartographie Récifale des Îles Françaises de l'Ocean Indien à Partir de Données Hyperspectrales" entre La Préfecture de La Réunion, les Terres Australes et Antarctiques Françaises, l'AAMP et l'Ifremer. Plusieurs projets spécifiques ont ensuite permis d'apliquer / adapter ces développements aux différentes sous-secteurs géographiques. Le traitement en 2018 de ces données hyperspectrales dans le cadre du projet CARMAY (CArtographie Récifale de MAYotte) a permis de générer une image multispectrale à 4 bandes (Rouge/Vert/Bleu/PIR), améliorant la compréhension et l’interprétation de certaines zones peu évidentes (ombres, nuages, artéfacts liés à la surface de l’eau, profondeur, etc.). La correction des effets de surface, permet une meilleure perception du fond dans les plus grandes profondeurs par rapport à la donnée hyperspectrale brute. Ces images ont été exploitées comme données de base pour le projet CARMAYOTTE (Cartographie des habitats récifaux de Mayotte, financements PNMM/AFB / CUFR / Ifrecor 2019-2020). Le projet CARMAY est financé par le Parc Naturel Marin de Mayotte / AFB et Ifremer (pour le volet télédétection).

  • Cette couche a été créée dans le cadre de l’évaluation 2018 du BEE DCSMM pour le Descripteur 6. Elle est la fusion des différentes couches des indicateurs relatifs au critère D6C1 pour la SRM considérée. Les activités considérées comme sources de pertes physiques potentielles sont : les aménagements côtiers, l'extraction de granulats marins, les dragages et les immersions de matériaux de dragage.

  • Ces images des fonds marins sont issues de la correction de la colonne d’eau sur les données hyperspectrales acquises en 2009 et en 2010 pour le projet Litto3D Océan Indien (IGN / SHOM) et sur financement de l'Agence des Aires Marines Protégées (AAMP). Les méthodes de calcul se basent sur les développements initiés dans le cadre de la convention de coopération quadripartite portant sur la "Cartographie Récifale des Îles Françaises de l'Ocean Indien à Partir de Données Hyperspectrales" entre La Préfecture de La Réunion, les Terres Australes et Antarctiques Françaises, l'AAMP et l'Ifremer. Le traitement en 2018 de ces images dans le cadre du projet CARMAY (CArtographie Récifale de MAYotte) a permis de générer une composition colorée Rouge/Vert/Bleu telle qu’elle serait après retrait théorique de la colonne d’eau. Ces images ont ensuite été exploitées comme données de base pour le projet CARMAYOTTE (Cartographie des habitats récifaux de Mayotte, financements PNMM/AFB / CUFR / Ifrecor 2019-2020). Le projet CARMAY est financé par le Parc Naturel Marin de Mayotte / AFB et Ifremer (pour le volet télédétection).

  • Ce modèle numérique, réalisé dans le cadre du projet CARMAY (CArtographie Récifale de MAYotte) de terrain élaboré pour Mayotte est une combinaison de 3 jeux de données de bathymétrie : - le MNT Litto3d à 1 m de résolution spatiale, - le MNT Composite fusion entre le MNT Litto3d et des données acoustiques à 25 m de résolution, - le MNT Homonim à 100 m de résolution spatiale. Le projet CARMAY est financé par le Parc Naturel Marin de Mayotte / AFB et Ifremer (pour le volet télédétection).

  • Cette donnée permet de visualiser les taux de recouvrement des quatre principaux constituants de la plateforme récifale : le Sable, le Corail, les Algues et les Herbiers. Elle permet également de visualiser une synthèse des quatre séries de cartes précédentes. L'image est constituée de 4 bandes (une pour chaque constituant), dont 3 sont représentés (sable / algues / corail) sur une image composite RVB avec un étirement sur la gamme de valeurs comprise entre 0 et 100 %. A l'échelle du pixel, la somme des bandes fait 100 %. Pour le taux de recouvrement des herbiers, seules les zones disposant d'herbiers significatifs sont présentées dans les cartes suivantes (entre Saint-Gilles et Trou d’eau).

  • Ces images des fonds marins sont issues de la correction de la colonne d’eau sur les données hyperspectrales acquises en 2009 et en 2010 pour le projet Litto3D Océan Indien (IGN / SHOM) et sur financement de l'Agence des Aires Marines Protégées (AAMP). Les méthodes de calcul se basent sur les développements initiés dans le cadre de la convention de coopération quadripartite portant sur la "Cartographie Récifale des Îles Françaises de l'Ocean Indien à Partir de Données Hyperspectrales" entre La Préfecture de La Réunion, les Terres Australes et Antarctiques Françaises, l'AAMP et l'Ifremer. Le traitement en 2014 de ces images dans le cadre du projet EPICURE (Étude des Peuplements Ichtyologiques et des CommUnautés RécifalE) a permis de générer une composition colorée Rouge/Vert/Bleu telle qu’elle serait après retrait théorique de la colonne d’eau. Le projet EPICURE est co-financé par le Xème FED Taaf et les porteurs du projet (Ifremer et CUFR de Mayotte).

  • Cette représentation des reliefs des fonds est issue de la combinaison du MNT Bathymétrique Composite de Mayotte, issu de la fusion entre le MNT Litto3d à 1m et des données acoustiques à 25 m de résolution, et le MNT Homonim à 100 m de résolution spatiale. avec une extrapolation des pentes (niveaux de gris) à l'échelle de la résolution de l'image. Il permet de générer une couche d'information révélant de nombreux détails de la géomorphologie des récifs. Ces images ont été générées et exploitées comme données de base pour le projet CARMAYOTTE (Cartographie des habitats récifaux de Mayotte, financements PNMM/AFB / CUFR / Ifrecor 2019-2020).

  • Cette bathymétrie est issue d’une fusion entre le MNT Litto3D Lidar à 1 m et les images hyperspectrales de résolution spatiale 40 centimètres après traitement de la colonne d’eau. Cette correction a permis le calcul d’une bathymétrie à très haute résolution spatiale sur l’emprise des images.

  • Ces images des fonds marins sont issues de la correction des effets de surface de l'eau sur les données hyperspectrales acquises en 2009 et en 2010 pour le projet Litto3D Océan Indien (IGN / SHOM) et sur financement de l'Agence des Aires Marines Protégées (AAMP). Les méthodes de calcul se basent sur les développements initiés dans le cadre de la convention de coopération quadripartite portant sur la "Cartographie Récifale des Îles Françaises de l'Ocean Indien à Partir de Données Hyperspectrales" entre La Préfecture de La Réunion, les Terres Australes et Antarctiques Françaises, l'AAMP et l'Ifremer. Plusieurs projets spécifiques ont ensuite permis d'apliquer / adapter ces développements aux différentes sous-secteurs géographiques. Le traitement en 2017 de ces données hyperspectrales dans le cadre du projet EPICURE (Étude des Peuplements Ichtyologiques et des CommUnautés RécifalE) a permis de générer une image multispectrale à 4 bandes (Rouge/Vert/Bleu/PIR), améliorant la compréhension et l’interprétation de certaines zones peu évidentes (ombres, nuages, artéfacts liés à la surface de l’eau, profondeur, etc.). La correction des effets de surface, permet une meilleure perception du fond dans les plus grandes profondeurs par rapport à la donnée hyperspectrale brute. Le projet EPICURE est co-financé par le Xème FED Taaf et les porteurs du projet (Ifremer et CUFR de Mayotte).

  • Cette couche a été créée dans le cadre de l’évaluation 2018 du BEE DCSMM pour le Descripteur 6. Elle est la fusion des différentes couches des indicateurs relatifs au critère D6C3 pour la SRM considérée. Le critère D6C3 évalue les grands types d'habitats benthiques soumis à des perturbations physiques potentielles. Il est le résultat du croisement entre le critère D6C2, perturbations physiques potentielles, et les données des grands types d'habitats benthiques EuSeaMap 2016.