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  • Entre 2000 et 2002, une succession de prise de vues du littoral Atlantique - Manche - Mer du nord est réalisée en vue d'établir une couverture d'orthophotographies sur tout ce linéaire. La production de cette orthophotographie s'est effectuée au rythme des campagnes de vols. Ces dernières ont été réalisées sous des conditions bien particulières : à marée basse en période de grande marée (coefficient supérieur à 95) avec une hauteur d’eau inférieure à 1 mètre. Cette couche représente les axes de vols réalisés au cours de la campagne 2000-2002.

  • Entre 2000 et 2002, une succession de prise de vues du littoral Atlantique - Manche - Mer du nord est réalisée en vue d'établir une couverture d'orthophotographies sur tout ce linéaire. La production de cette orthophotographie s'est effectuée au rythme des campagnes de vols. Ces dernières ont été réalisées sous des conditions bien particulières : à marée basse en période de grande marée (coefficient supérieur à 95) avec une hauteur d’eau inférieure à 1 mètre. Cette couche localise l'emplacement du centre des clichés photographiques (nadirs) réalisés tout au long de la campagne de vols.

  • Entre 2000 et 2002, une succession de prise de vues du littoral Atlantique - Manche - Mer du nord est réalisée en vue d'établir une couverture d'orthophotographies sur tout ce linéaire. La production de cette orthophotographie s'est effectuée au rythme des campagnes de vols. Ces dernières ont été réalisées sous des conditions bien particulières : à marée basse en période de grande marée (coefficient supérieur à 95) avec une hauteur d’eau inférieure à 1 mètre. Cette couverture orthophotographique est découpée en dalles hétérogènes et est disponible en libre téléchargement sur le site Géolittoral dans le format ECW en RVB. Le téléchargement se fait par lot de dalles d'environ 300-400Mo chacun. Le système de projection associé est le RGF93 / Lambert93. Cette couche détermine le plan d'assemblage des dalles réalisées en RVB sur le littoral Atlantique - Manche - Mer du nord.

  • Le sentier du littoral doit permettre aux piétons d'accéder au rivage de la mer et de cheminer le plus possible le long du littoral. Il désigne la totalité du tracé ouvert le long de la mer. Il n'a pas de statut juridique unique car il est constitué de tronçons de nature juridique différente. Selon la nature des terrains bordant le domaine public maritime, le sentier passe sur du domaine public de l’État ou des collectivités territoriales, ou sur des propriétés privées. L'ensemble du cheminement constituant le sentier du littoral comprend le cheminement ouvert aux piétons, le linéaire de sentier à étudier ou accessible à court terme, le linéaire du littoral inaccessible. Cette couche répertorie les points autorisant un accès (parking, infrastructure) au sentier du littoral sur une partie des départements littoraux métropolitains et sur la Guadeloupe. A terme, les données seront consultables sur l'ensemble du littoral métropolitain et de l'outre-mer. Cette ressource est en conformité avec le standard de données COVADIS sur le sentier du littoral (version 1.0 - document du 22 janvier 2014).

  • L'Indice de sensibilité environnementale du littoral français a été approché comme étant une approximation de la "valeur patrimoniale de l'environnement". La méthode retenue pour déterminer cet indice a consisté à comptabiliser sur un secteur donné le nombre de zones de protection environnementales se superposant, en partant du principe que plus un site va être couvert par des zonages différents plus il répond à un nombre d'enjeux importants et donc plus sa valeur patrimoniale est élevée et sa vulnérabilité à la pollution aux hydrocarbures est importante. Cette couche représente l'indice de sensibilité environnementale du littoral français réparti selon 5 classes d'indice allant du peu sensible au très sensible : 1- peu sensible, 2, 3-4, 5-6 et supérieure ou égale à 7 - très sensible.

  • L’indicateur national de l’érosion côtière, produit dans le cadre de la Stratégie nationale de gestion intégrée du trait de côte, représente l’évolution de la position du trait de côte sur le littoral français sur une durée d’au moins 50 ans. Les données concernent la métropole et les cinq (5) départements d'outre-mer (Guadeloupe, Martinique, Guyane, Mayotte et Réunion).

  • La sensibilité socio-économique prend en compte l’utilisation et l’exploitation de l’espace et des ressources du littoral par la société (culture marines, pêche, tourisme, prises d’eau industrielles …). Son appréciation s'appuie sur un grand nombre de critères difficiles à saisir par voie statistique (informations économiques des administrations), très évolutifs dans le temps, et difficiles à combiner entre eux (chiffre d'affaires, emploi, capacité d’accueil) et parfois difficiles d’accès (caractère plus ou moins « stratégique et confidentiel des données»). L’indice de sensibilité socio-économique du littoral français est construit en additionnant les types d’activités présentes sur une commune. Un coefficient majorateur a été attribué à certaines activités considérées comme particulièrement vulnérables selon le critère de l’indice d’interruption d’activité du Cedre : x10 pour les activités dites de prises d'eau et x5 pour les communes dont l’estran fait l’objet d’une exploitation conchylicole. Cette couche représente l'indice de sensibilité socio-économique du littoral français. Sa représentation cartographique se fait par commune, échelle à laquelle les données décrivant les activités socio-économiques littorales sont relativement aisées à obtenir. L'indice est réparti selon 5 classes : 0 (aucune activité recensée), 1-3, 4-7, 8-13, supérieure ou égale à 14 types d'activités recensées (majoration comprise).

  • Nombre d’années entre les 2 orthophotographies aériennes utilisées pour produire l’indicateur national de l’érosion côtière, dans le cadre de la Stratégie nationale de gestion intégrée du trait de côte. Ces données sont importantes pour interpréter les évolutions du trait de côte.

  • Marqueurs de la position du trait de côte digitalisés à partir de photographies aériennes récentes (2005-2014) et utilisés pour produire l’indicateur national de l’érosion côtière, dans le cadre de la Stratégie nationale de gestion intégrée du trait de côte. Les données concernent la métropole et les cinq (5) départements d'outre-mer (Guadeloupe, Martinique, Guyane, Mayotte et Réunion).

  • Le trait de côte est considéré comme artificialisé lorsqu'il supporte des ouvrages et des aménagements littoraux ou que son évolution est potentiellement influencée par ces constructions. La cartographie de l'artificialisation du trait de côte a été réalisée principalement à partir de la "cartographie nationale des ouvrages et aménagements littoraux" produite dans le cadre de la Stratégie nationale de gestion intégrée du trait de côte. Cette cartographie couvre l'ensemble du littoral de la métropole et des départements et régions d'outre-mer (Guadeloupe, Martinique, Guyane, La Réunion, Mayotte).