Position théorique du trait de côte (pied de dune) estimée en 2020, sans les ouvrages (sauf ouvrages majeurs du Verdon, de l'Adour et de l'Artha à St-Jean-de-Luz), uniquement sur la côte sableuse. (métadonnée en cours)

Position théorique du trait de côte (pied de dune) 2009 Aquitain sans les ouvrages (sauf ouvrages majeurs du Verdon, de l'Adour et de l'Artha à St-Jean-de-Luz) et description de l'aléa érosion. Concerne uniquement la côte sableuse.

Etablir une distribution spatiale des espèces de diatomées benthiques dans le Bassin d'Arcachon. Identifier les facteurs responsables de cette distribution (Salinité, température, stock en nutriments, texture du sédiment, courants) Utiliser le suivi saisonnier pour tirer des informations à long terme sur l'évolution des facteurs environnementaux naturels et anthropiques.

Synthèse bibliographique des documents (Thèses, articles et rapports) réalisés sur le Bassin d'Arcachon, par les équipes de l'Unité Mixte de Recherche Environnements et Paléoenvironnements OCéaniques (EPOC) de l'Université Bordeaux 1.

Photos aériennes noir et blanc (287 photos) prises à 10 000 pieds d'altitude

État initial (2001) et études d’impact (2003 à 2009) des peuplements benthiques et de la granulométrie dans le cadre de travaux de dragage et d’engraissement des plages du Pyla.

Suivi de la mégafaune des herbiers à grande zostère (Zostera marina).

Suivi de la répartition de l'abondance des oiseaux marins (50 espèces) en mer en Aquitaine.

54 poches contenant environ 17g de feuilles ou 5g de rhizomes de Zostera noltii ont été placées sur et sous du sédiment intertidal au site de Comprian. L'évolution temporelle (0j, 15j, 1 mois, 3 mois, 6 mois, 9 mois, 1 an) des signatures élémentaires, isotopiques et lipidiques de ces matériaux est étudiée.

L’étude avait pour but de connaître la signature élémentaire et isotopique des différentes sources potentielles de la Matière Organique Particulaire (MOP) du bassin d’Arcachon. Pour ceci a été analysée la MOP du bassin ainsi que ses sources potentielles (les macro-algues, les végétaux supérieurs, les sédiments et les sols des différentes stations de prélèvement). La contribution de chacune de ces sources a ainsi été quantifiée.