Cette couche représente l'évolution du trait de côte issue de l'indicateur national de l'érosion côtière selon une nomenclature simplifiée permettant de produire des cartes de synthèse à une échelle inférieure au 1/100 000.

Recensement des secteurs classés en "zone balnéaire" et requérant un traitement particulier en matière de gestion de la voirie.

Dans le cadre d'un suivi des évolutions morphologiques du littoral de Charente-Maritime, à la demande du Conseil Départemental de Charente-Maritime, une synthèse des évolutions des littoraux de l'île de Ré, de l'île d'Oléron et de la Presqu'île d'Arvert est réalisée annuellement. Plusieurs traits de côte ont été numérisés depuis 1824. Numérisation par photo-interprétation basée sur des indicateurs du trait de côte: le pied de dune, la limite de végétation (lorsque la dune est absente) ou le sommet d'ouvrages de protection (enrochements, digues). Le trait de côte est discontinu puisque l'étude ne s’intéressait qu'à 37 plages réparties sur l'ensemble du littoral de Charente Maritime (île de Ré, île d'Oléron, Presqu’île d'Arvert et St Georges de Didonne dans l'estuaire de la Gironde) Les traits de côte ont été numérisés sous ArcMap en RGF93 CC46 (EPSG:3946).

ligne_stabilite_2013, de géométrie polyligne, se matérialise par la ligne de végétation ou la face interne des ouvrages de défense, du village d'Avatoru à l'ouest à celui de Tiputa à l'est, dans l'atoll de Rangiroa. Cette donnée a été créée dans le cadre du projet REOMERS et sert à analyser l'évolution de la position du trait de côte dans les atolls de l'ouest des Tuamotu.

Les informations relatives à l'évolution de la position du pied de plage sont fournies pour la période 1978-2011. Cette évolution traduit les changements entre les positions du pied de plage en 1978 et en 2011. Le changement en mètre est proposé (champ NSM) ainsi que la vitesse moyenne de ces changements en mètre/an (champ EPR), pour les 4 communes d'étude : Saint-Denis, Le Port, Saint-Paul et Saint-Pierre. Deux autres couches contiennent les mêmes informations pour les périodes 1950-1978 et 1950-2011.

Cette couche de géométrie polygone présente les caractéristiques de l'habitat (le type, la hauteur, etc.) situé dans les principales zones habitées des atolls de Rangiroa, Tikehau et Mataiva, à partir de levés de terrain datant de 2015.

ligne_stabilite_1966_2013, de géométrie polyligne (composée de transects qui coupent les traits de côte tous les 10 m), propose des données quantitatives sur les changements que le trait de côte a connu entre 1966 et 2013 à Avatoru et Tiputa, dans l'atoll de Rangiroa. Pour chaque transect, la distance entre les lignes de stabilité de 1966 et de 2013 est mesurée en mètre (champ NSM), ainsi que la vitesse des changements, en mètre/an (champ EPR). Cette donnée a été créée dans le cadre du projet REOMERS et sert à analyser l'évolution de la position du trait de côte dans les atolls de l'ouest des Tuamotu.

Cette couche de géométrie polyligne correspond à la limite des nappes d'épandage du cyclone Orama (survenu en février 1983), dans la partie sud-est de l'atoll de Takapoto.

Cette couche de géométrie polyligne (composée de transects qui coupent les traits de côte tous les 10 m), propose des données quantitatives sur les changements que le trait de côte a connu entre deux dates données, sur les atolls de Mataiva (1976-2013 ; 1976-1984 ; 1984-1994 ; 1994-2013), Takapoto (1969-2013 ; 1969-1981 ; 1995-2013) et sur les principales zones habitées des atolls de Rangiroa (1966-2013 ; 1966-1981 ; 1981-1984 ; 1984-1998 ; 1998-2013) et Tikehau (1962-2014 ; 1962-1981 ; 1981-1984 ; 1984-1998 ; 1998-2014). Pour chaque transect, la distance entre les deux lignes de stabilité considérées est mesurée en mètre (champ NSM), et la vitesse des changements en mètre/an (champ EPR).

La ligne de végétation est l'un des indicateurs de trait de côte utilisés dans le projet Réomers, sur l'atoll de Takapoto uniquement. Cette couche de géométrie polyligne correspond à la limite externe de la couverture végétale. Elle a notamment permis d'analyser les réponses de cette végétation aux événements météo-marins extrêmes.