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Economie

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  • Emplacement sur le serveur : sde.cr_economie.PRAE

  • Le Plan Pluriannuel Régional de Développement Forestier (PPRDF) du Languedoc-Roussillon a été approuvé par arrêté N° 2012072-0004 signé par le Préfet de Région le 12 mars 2012. Le fichier cartographique contient les zonages des massifs prioritaires du PPRDF LR, soit 19 massifs. Méthodologie de ciblage des 19 massifs : Identification de zones dites « zones IFN bois+ » 12 zones regroupant certaines régions IFN (petites régions IFN au sens de l’inventaire forestier National) ont été préalablement retenues par l’ensemble des acteurs forestiers régionaux comme zones de mobilisation des bois dans lesquelles des actions seraient conduites : les Basses Cévennes (30 + 48 ) les Hautes Cévennes (30 + 48) les Avants-monts Lodévois et le Bas-Cabardès (11 + 34) le Vallespir (66) le Pays de Sault (11 + 66) le Conflent + Cerdagne - Capcir (66) la Montagne Noire (11 et 34) la Margeride (48) les Causses lozériens (48) les Garrigues (30 et 34) les Corbières occidentales (11) les causses du Gard et de l'Hérault (30 et 34) Ces 12 zones correspondant aux régions IFN ayant un volume d’accroissement total supérieur à 16 000 m3/an , hormis pour la région Cerdagne-Capcir qui a été regroupée avec le Conflent. Ces 12 zones ont été appelées « zones IFN bois+ ». Par la suite et à l’issue du premier groupe de travail du PPRDF (10 juin 2011), les ajouts suivants ont été réalisés : - Le Somail et Espinouse (34) - Le Razès (11) considérant que la région IFN Somail Espinouse était globalement bien exploitée, celle-ci n’avait pas été retenue par le groupe d’experts en 2009. Finalement, la demande d’inclure cette zone dans la liste des zones IFN bois + a été retenue eu égard aux possibilités de mobilisation supplémentaire de bois dans les petites et moyennes propriétés en zones mécanisables. De même, il a été proposé que le Razès soit ajouté et regroupé avec la zone IFN Corbières Occidentales eu égard à la ressource présente et à la sylviculture d’ores et déjà réalisée. Les zones « IFN bois+ » retenues finalement comme base de travail du PPRDF ont été : les Basses Cévennes (30 + 48 )+ les Hautes Cévennes (30 + 48) les Avants-monts Lodévois et le Bas-Cabardès (11 + 34) le Somail et Espinouse (34) le Vallespir (66) le Pays de Sault (11 + 66) le Conflent + Cerdagne - Capcir (66) la Montagne Noire (11 et 34) la Margeride (48) le Causse lozérien (48) les Garrigues (30 et 34) les Corbières occidentales et Razès (11) les Causses du Gard et de l'Hérault (30 et 34) Dans un second temps ont été considérés les territoires ayant bénéficiés d’une animation de type CFT et PDM. D’autres critères ont également permis de choisir ces massifs prioritaires: parmi eux, l’existence de débouchés rémunérateurs actuels (ou potentiels) pour les bois du massif ainsi que les conditions d’exploitabilité (accès, relief, points noirs) permettant une exploitation des bois avec un rapport coût/ efficacité acceptable. A l’issue de cette sélection, 19 massifs forestiers ont été retenus comme étant prioritaires afin d’y conduire les actions du PPRDF LR. Voir + détails : http://www.draaf.languedoc-roussillon.agriculture.gouv.fr/Plan-Pluriannuel-Regional-de

  • Description et localisation des emprises économiques d'intérêt communautaire : globales (parc d'activité) et détaillées (zone d'activité)

  • Une zone vulnérable est une partie du territoire où la pollution des eaux par le rejet direct ou indirect de nitrates d'origine agricole et d'autres composés azotés susceptibles de se transformer en nitrates , menace à court terme la qualité des milieux aquatiques et plus particulièrement l'alimentation en eau potable. Dans la région Nord - Pas de Calais, toutes les communes sont classées en zone vulnérable nitrate.

  • Le QMNA, débit (Q) mensuel (M) minimal (N) de chaque année civile (A) est la valeur du débit mensuel d'étiage atteint par un cours d'eau pour une année donnée. Le QMNA5 est le QMNA calculé pour une durée de 5 ans. Il permet d'apprécier statistiquement le plus petit écoulement d'un cours d'eau sur une période de 5 ans.

  • Fichier représentant les ZAE gérées par la CCGPSL.

  • Le "cadastre solaire" est établi sur une modélisation volumique (3D) des bâtiments. Il permet de qualifier le rayonnement reçu par chaque pan de toiture ou terrasse tenant compte de l'orientation, des phénomènes de masquage (ombre portée), du niveau d'ensoleillement sur 365 jours.

  • LOCALISATION : sde.refext_dreal.DIREN_OGS et sde.refext_dreal.VUE_DIREN_OGS --- ANNEE : 2011 --- FORMAT : vecteur --- DÉTAIL : Le Réseau des Grands Sites de France regroupe à ce jour les organismes gestionnaires de 34 Grands Sites, parmi les plus connus et les plus emblématiques de notre pays. Ces organismes sont dans leur grande majorité des structures publiques, émanation des collectivités locales ; il s'agit généralement de communautés de communes, de syndicats mixtes, ou d'établissements publics de coopération culturelle, dotés d'équipes de haut niveau dédiées au Grand Site. 27 millions de visiteurs sont accueillis chaque année sur ces 34 sites, chiffre qui souligne le défi posé à leurs gestionnaires. Ceux-ci œuvrent en concertation avec tous les acteurs pour une organisation intelligente de la fréquentation et pour un tourisme compatible avec la préservation des lieux et de ses habitants qui y vivent au quotidien. Leur action s’inscrit dans les principes du développement durable : offrir aux visiteurs des sites restaurés et préservés, où souffle à nouveau « l’esprit des lieux », favoriser un tourisme durable et responsable, générer des retombées économiques pour les régions rurales proches, assurer une gestion active et à long terme de ces sites. Le Réseau des Grands Sites de France a été créé en 2000, avec le soutien du Ministère en charge des sites. Regroupant 17 Grands Sites à sa création, il est rejoint chaque année par de nouveaux membres partageant des valeurs et des objectifs communs. Il regroupe des gestionnaires de sites faisant l'objet d'une Opération Grand Site en partenariat avec l'Etat (MEEDDAT), ainsi que d'autres sites engagés dans des démarches similaires aux OGS. Six membres du RGSF ont déjà reçu le label GRAND SITE DE FRANCE ® et les autres sites non encore labellisés oeuvrent pour l'obtenir au terme de leur réhabilitation. Depuis 2006, le Réseau accueille également comme membres associés des sites classés au titre de la loi du 2 mai 1930 de moindre notoriété, mais confrontés à leur échelle à des problèmes de gestion et désireux de bénéficier de l'expérience des Grands Sites. Le Réseau est le lieu de réflexion, de partage d’expériences et d’innovation entre toutes les collectivités locales gestionnaires des Grands Sites. Il organise chaque année des Rencontres annuelles sur des thèmes d'intérêt commun relatifs à la gestion des sites, à leur aménagement, au tourisme durable, à leur rôle en matière de développement local. Il conçoit et réalise des actions de communication et de valorisation communes à tous les Grands Sites, visant à mieux les faire connaître : publications grand public, plaquettes et supports de communication présents sur tous les sites, exposition photographique itinérante, etc. L’objectif est de sensibiliser les visiteurs sur les valeurs communes des Grands Sites et de leur donner des clés pour mieux découvrir et apprécier ces lieux fragiles. Enfin, le Réseau est un interlocuteur des pouvoirs publics et s'attache à être une force de proposition en matière de valorisation et de mise en valeur des sites et des paysages. Il est consulté en vue de l'attribution du label GRAND SITE DE FRANCE ®. Des lieux exceptionnels, protégés … mais piétinés : ETRE UN « GRAND SITE » Parmi nos paysages, certains ont acquis par leur beauté ou leur histoire, une renommée telle « qu'ils faut les avoir vus au moins une fois dans sa vie », plusieurs sont d’ailleurs inscrits sur la liste du patrimoine mondial. Cette consécration sociale d'une beauté originale, d'une identité particulière, transforme un lieu en « Grand site » qui mérite d'être préservé pour les visiteurs actuels comme pour ceux des générations futures. ET LE RESTER ! Leur renommée entraîne en général un grand afflux de visiteurs qui causent des dégradations (érosion des sols, cheminements sauvages, disparition d’espèces…) et des nuisances pour les habitants (déchets, bruit, stationnements anarchiques, circulation routière rendue difficile et pression foncière renforcée). Qui méritent une attention particulière L'Etat propose depuis 1976 aux collectivités locales une politique adaptée à ces hauts lieux, les OPERATIONS GRAND SITE ® : Fondée sur des critères d’éligibilité, en concertation avec l’ensemble des partenaires, aboutissant à des conventions et à une gestion partenariales à long terme du grand site.

  • Première phase d'étude sur l'implantation d'éoliennes terrestres sur le territoire de la CU Dunkerque, le schéma éolien est le résultat d'une analyse spatiale tenant compte de l'ensemble des critères réglementaires actuels permettant (ou non) d'implanter ces ouvrages.

  • Mâts éoliens en cours d'intruction en Hauts de France